
Gertrude se devait d'accueillir comme il se doit par un baise-main son tendre mari après une journée harassante de travail. Ce qu'elle ignorait c'est qu'il venait de pratiquer une saillie artificielle et à sec sur la jument du père Moltepaille:
-Dis donc chéri, c'est curieux, ta main sent les arômes de petit coraya !?!
-(et merde la prochaine fois je lubrifierai à la nivéa)
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